Heure de Paris – UTC+2
RELEVER LES DÉFIS DE L’INFORMATION
Chrysoula Zacharopoulou, Secrétaire d'État auprès de la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux
Marie-Christine Saragosse, présidente-directrice générale de France Médias Monde
Thierry Vallat, président-directeur général de CFI
Par Pierre Haski (France)
Ancien correspondant à l’AFP (Afrique du Sud), il fut directeur adjoint à Libération après avoir été grand reporter Afrique, correspondant à Jérusalem ou encore à Pékin pour ce média. Fondateur du média en ligne Rue89, Pierre Haski est aujourd’hui éditorialiste géopolitique sur France Inter et dans L’Obs. Il est également président de Reporters sans frontières. Pierre Haski est l’auteur de plusieurs livres (notamment Internet et la Chine en 2008), de documentaires (notamment Liu Xiaobo, l’homme qui a défié Pékin en 2020, Taïwan dans le viseur de Pékin en 2023) et de podcasts (« Les décolonisations africaines » en 2022).
La désinformation peut sembler omniprésente et décourageante, mais des journalistes du monde entier continuent de s’organiser pour lutter efficacement contre les fausses informations. Les outils à leur disposition évoluent, les rédactions s’organisent pour créer de nouveaux formats ou travailler en réseau, et le public lui-même est parfois mieux armé pour contrer les menaces qui pèsent sur le débat public.
Intervenants
Pierre Haski, éditorialiste à France Inter et président de Reporters sans frontières (France)
Nina Lamparski, rédactrice en chef de l’investigation numérique pour l’Afrique à l’Agence France Presse (France)
Valdez-Onanina, rédacteur en chef du bureau francophone d’Africa Check (Sénégal)
Saja H. Mortada, responsable du réseau de fact-checkeurs ARIJ (Liban)
Modération
Sophie Malibeaux, journaliste à RFI (France).
Intervenants
Paul Joël Kamtchang, journaliste Adisi Cameroun (Cameroun)
Belén Carrasco Rodriguez, Center for information resilience (Royaume-Uni)
Asia Ballufier, journaliste au Monde
Modération
Alexandre Capron, journaliste Les Observateurs de France 24
Intervenants
Blaise Pascal Andzongo, Directeur d’Edukmedia (Cameroun)
Myriam Angoni, Expressions Balkaniques (Albanie)
Aude Favre, journaliste et présidente de Fake Off (France)
Modération
Célia d’Almeida, journaliste (Mali)
Intervenants
Tse Nebangu, journaliste Ndefcam radio à Bamenda (Cameroun)
Ahmed Baider, journaliste (Yémen)
Stéphane Siohan, journaliste et producteur à Kiev (Ukraine)
Modération
Sidy Yansané, journaliste à RFI (France)
Rencontres informelles entre journalistes et acteurs de terrains.
- Proche-Orient en aparté
- Afrique de l’ouest en aparté
ACCÉLÉRER LES TRANSITIONS
Par Ketsia Passou
Activiste du climat, défenseur de la jeunesse UNICEF et jeune ambassadrice pour la cause climatique et environnementale (République Démocratique du Congo), Ketsia Passou a 18 ans. Dans son pays, la République Démocratique du Congo, c’est l’âge médian de la population. Étudiante, elle a décidé de faire entendre sa voix au bénéfice des causes qui lui tiennent à cœur. Elle a pris la parole lors de la COP27 de Charm-el-Cheikh. Elle est jeune reporter de l’Unicef dans son pays et aussi défenseure de la jeunesse attachée à l’égalité homme/femme de l’agence des Nations unies ainsi que jeune ambassadrice pour la cause climatique et environnementale. En février 2023, elle participe à une résidence organisée par l’ambassade de France au Cameroun dans la foulée du Sommet de Montpellier pour réfléchir aux modes d’actions pour faire avancer la prise en compte de l’urgence écologique.
Donner une juste place à la représentation des femmes dans les médias reste un objectif à atteindre. Si les choses ont commencé à bouger, les paroles féminines (expertes ou non) restent globalement moins présentes que celles des hommes dans les médias, et trop de stéréotypes genrés continuent de circuler. Par ailleurs, le métier de journaliste lui-même ne parvient pas à faire une juste place aux professionnelles de l’information. Qu’est-ce qui bloque encore ?
Intervenants
Jezia Nouma, fondatrice de Lella Media (Tunisie)
Lauren Provost, directrice adjointe de Libération (France)
Abigail Larbi Odei, directrice MFWA (Ghana)
Karim Djinko, formateur MédiaSahel pour Elles (Canada)
Modération
Sophie Ekoué, journaliste (Togo)
Agora incontournable pour les citoyens et citoyennes, les réseaux sociaux laissent aux médias la portion congrue. Il est pourtant nécessaire de réfléchir à l’usage de ces plateformes dans une perspective éditoriale. À la fois comme source pour collecter des témoignages, mais aussi comme relais de diffusion et d’interaction.
Intervenants
Haby Niakaté, rédactrice en chef Brut Afrique (France/Côte d’Ivoire)
Jean Kassir, fondateur de Mégaphones (Liban)
Victoire Tuaillon, journaliste et autrice féministe du podcast « Les Couilles sur la table » (France)
Modération
Steven Jambot, journaliste, RFI (France)
Comment un média peut-il faire quand il ne peut plus travailler sur son propre territoire ? Organisation, méthodes, outils, risques, opportunités.
Intervenants
Biniam Simon, fondateur de Radio Erena, média érythréen en exil (Erythrée/France)
Rooh Savar, journaliste en exil et fondateur des Lettres persanes (Iran/France)
Malick Konaté, journaliste (Mali/France)
Modération
Catherine Monnet, journaliste, Reporters sans frontières (France)
Un ou une des panélistes de la journée se soumet au jeu des questions/réponses avec l’audience en ligne.
« J’ai fait le pari d’un modèle de journalisme innovant et approfondi sur des sujets d’intérêt général. J’ai fondé en 2019 un média indépendant et financé par le public “La maison des reporters” qui a reçu en 2020 le prix francophone d’innovation dans les médias. »
Intervenant
Moussa Ngom, La maison des reporters (Sénégal)
Modération
David Servenay, directeur des revues XXI et de 6 mois, et auteur du podcast « Dans la peau d’un·e journaliste d’investigation en Afrique » (France)
Questions/réponses en ligne avec des porteurs/porteuses de projet civic tech, de journalisme de solution, santé ou investigation qui parviennent à avoir un impact dans leur pays.
Intervenants
Rolande Djatougbe Akouvi Aziaka, journaliste, EcoConscience.tv (Togo)
Yassine Aabar, président de l’AIC (Association Initiatives Citoyennes) et initiateur du projet Écho des voix féminines (Maroc)
Jalaa Abuarab, rédactrice en chef Dooz (Territoires palestiniens)
Modération
Claire Leproust, consultante et productrice FablabChannel (France)
Le Global Forum for Media Development est la plus grande communauté mondiale pour le développement des médias, la liberté des médias et le soutien au journalisme. Grâce à la collaboration, à la coordination et à l’action collective, le réseau de 139 organisations membres du GFMD – ainsi que ses dizaines de partenaires – crée, promeut et met en œuvre des politiques et des programmes visant à soutenir le journalisme en tant que bien public.
Intervenant
Tom Law, directeur adjoint, GFMD (Royaume-Uni)
Animé par les directeurs géographiques de CFI, pour les diplomates du MEAE avec les journalistes des zones géographiques identifiées.
- L’Afrique du nord en aparté
- L’Afrique centrale en aparté
La question de l’impact est au cœur des actions de développement média. Mais de quel impact parle-t-on ? Comment peut-on l’évaluer ? État des lieux des pratiques et de la réflexion théorique sur le sujet.
Intervenants
Michel Leroy, chercheur (France, à distance)
Leon van den Boogerd, coordinateur de programme, Free Press Unlimted (Pays-Bas)
Caroline Vuillemin, directrice générale, Fondation Hirondelle (Suisse)
Jane Moller Larsen, responsable Afrique de l’Ouest, IMS (Danemark)
Julie Godignon, appui à des projets de développement médias & évaluatrice (Suisse)
Discutant
Bruno de Reviers, expert évaluation, AFD (France)
Modération
Florence Minery, directrice adjointe Méditerranée-Asie CFI
Les réseaux sociaux et les outils numériques ont donné une voix aux diasporas pour intervenir dans les débats de leurs pays d’origine. Comment s’organise la prise de parole à distance ? Quelles interactions avec les populations locales ? Quel rôle dans la circulation de l’information ?
Intervenants
Émilie Sueur, co-rédactrice en chef de L’Orient-Le Jour (Liban)
Ung Chamroeun, rédacteur en chef Thmey Thmey Media (Cambodge)
Esson Roger Nguessan, Sciences Po Bordeaux (France)
Modération
Estelle Ndjandjo, journaliste indépendante (France)
Un ou une des panélistes de la journée se soumet au jeu des questions/réponses avec l’audience en ligne.
« SOWT est un leader incontestable dans le domaine des podcasts en langue arabe, produisant un contenu original et de grande qualité. Sowt est à la fois une plateforme de diffusion et un studio de production de podcasts. »
Intervenant
Ramsey George Tesdell, fondateur de la plateforme de podcasts arabophones SOWT (Jordanie)
Modération
Malek Khadhraoui, Fondateur d’Inkyfada (Tunisie)
La transition écologique pose un enjeu fort à nos sociétés : les inégalités sociales se doublent parfois d’inégalités environnementales. Pour les médias, il est donc essentiel de savoir identifier les victimes, de les accompagner dans la reconnaissance de leurs préjudices, et de montrer qu’il n’est pas de développement durable sans justice environnementale.
Intervenants
Marthe Kra Akissi, journaliste (Côte d’Ivoire)
Hicham Houdaifa, éditeur et journaliste (Maroc)
Rahma Diaa, journaliste Climate Tracker (Égypte)
Modération
Marianne Rigaux, journaliste et responsable pédagogique de Samsa.fr
Alors que partout dans le monde les médias indépendants d’intérêt public font face à des difficultés économiques majeures et sont menacés d’extinction dans de nombreux pays sous l’effet combiné des pressions économiques et politiques, le Fonds International pour les Médias d’Intérêt Public est une nouvelle coalition multilatérale visant à débloquer de nouvelles ressources à grande échelle pour sauvegarder le journalisme d’intérêt public et inventer des modèles économiques et des solutions de financement pérennes à moyen terme.
Intervenant
Pierrick Judeaux, Directeur du Portefeuille et Représentant pour l’Europe, Fonds International pour les Médias d’Intérêt Public.
Face à la réalité du dérèglement climatique et ses manifestations de plus en plus nombreuses, les médias ne sont pas toujours à la hauteur. Pourquoi est-il si difficile de bien parler de ces enjeux et d’y intéresser les audiences ?
Intervenants
Aïda Diongue-Niang, climatologue, co-autrice du sixième rapport du GIEC (Sénégal)
Khaled Suleiman, journaliste spécialisé, expert CFI (Irak)
Alpha Oumar Bagou Barry, Président de l’AJSG [l’association des journalistes scientifiques de Guinée] (Guinée)
Teycir Ben Nasr, journaliste de solutions (Tunisie)
Modération
Anne-Cécile Bras, journaliste RFI, productrice de l’émission « C’est pas du vent » (France).
Des informations précieuses se cachent dans des fichiers (Web, PDF, tableaux, formats OpenData...). Leur nombre et leur volume, mais aussi leur diversité de formats rendent l’analyse fastidieuse. ConnectionStudio est un outil permettant d’intégrer de tels fichiers hétérogènes et de les explorer : analyse des entités (personnes, organisations, e-mails...) qui s’y trouvent ; vue schématique des données ; recherche de connexions entre les entités... Un cas d’usage lié aux participations financières des personnalités publiques françaises sera présenté et un second sur les conflits d’intérêt dans le domaine bio-médical.
Intervenante
Nelly Barret, doctorante à l’École Polytechnique.
GAGNER LA BATAILLE CONTRE LES INFOX
Par David Chavalarias (France)
David Chavalarias est un chercheur, Directeur de l’Institut des Systèmes Complexes de Paris, organisme rattaché au CNRS (Centre national de la recherche scientifique), David Chavalarias analyse l’explosion des fake news et de diverses techniques de manipulation à des fins électorales. Il a lancé en 2016 le projet « Politoscope », dédié à l’analyse des réseaux sociaux et du militantisme politique en ligne. Le chercheur étudie, dans son livre Toxic data, comment la manipulation de masse se déploie sur les réseaux. Il décrypte les stratégies d’ingérence déployées par la Russie, et la manière dont elles parviennent à ébranler certains systèmes politiques.
Au centre de la circulation des infos et des infox, les plateformes de réseaux sociaux jouent un rôle clé dans la distribution de la parole au niveau local et à l’échelle globale. Les États et les organisations de la société civile poussent pour de meilleures coopérations contre les fake news. Les plateformes sont-elles prêtes à jouer le jeu ?
Cette conférence sera composée de 3 ou 4 invité·es avec 1 modérateur pendant une heure d’échanges et 30 minutes de questions/réponses dont les questions émanant de l’audience en ligne (répercutées par la co-animatrice en charge de l’audience en ligne).
Intervenants
Henri Verdier, ambassadeur pour les affaires numériques (France)
David Chavalarias, chercheur (France)
Thibaut Bruttin, adjoint au Directeur général chez Reporters sans frontières et en charge de Journalism Trust Initiative (JTI) / France
Aisha Dabo, Africtivistes (Sénégal/Gambie)
Modération
Steven Jambot, journaliste et producteur de l’Atelier des médias, RFI (France)
All Eyes On Wagner est un collectif qui travaille à mettre au jour les activités du Groupe Wagner. Journalistes et experts collectent des informations obtenues en sources ouvertes et des témoignages vérifiés. Leur objectif est de devenir une source d’information spécialisée sur les mercenaires de Wagner pour la communauté internationale des droits de l’homme. Gros plan sur les méthodes de travail et les outils utilisés par ces spécialistes de l’OSINT (Open source intelligence).
Intervenants
Deux membres du collectif All Eyes on Wagner
« Organized Crime and Corruption Reporting Project » (OCCRP) est un regroupement de journalistes d’enquête fondé en 2006. Les membres de l’OCCRP lancent des investigations sur différentes zones géographiques et sur les thématiques comme la corruption et le crime organisé. Gros plan sur les méthodes d’enquête consacrées aux flux financiers et aux mafias utilisées par ces journalistes d’investigation et datajournalistes.
Intervenants
Paul Radu, fondateur OCCRP (Roumanie)
Sana Sbouai, éditrice pour le monde arabe, OCCRP (Tunisie/France)
Facilitation
Mais Katt, journaliste d’investigation spécialisée sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (Pays-Bas)
Les atteintes à l’environnement, un terrain d’enquête à investir. Museba Journalism Project est une ONG dédiée au journalisme d’enquête en Afrique centrale et dans la région des Grands Lacs. Né au Cameroun, ce média collaboratif avec une douzaine de journalistes de la région, Museba enquête sur la corruption, les flux financiers illicites, le crime organisé et les violations des droits de l’homme. Gros plan sur les techniques et méthodes utilisées pour réaliser leurs enquêtes.
Intervenant
Christian Locka, journaliste d’investigation et fondateur du Museba project (Cameroun).
Facilitation
Ange Kasongo, journaliste indépendante et formatrice (République Démocratique du Congo).
Du Sahel à l’Ukraine en passant par l’Est du Congo, dans les conflits de haute ou de basse intensité, les infox font partie de l’arsenal à la disposition des belligérants. À l’heure des réseaux, leur impact est démultiplié dans l’espace et dans le temps. Face à ces armes de défiance massive, est-il possible de se protéger, de contre-attaquer ? État des lieux et retours d’expérience de celles et ceux qui s’engagent dans la bataille contre les infox.
Intervenants
Julien Nocetti, chercheur à l’Institut français des relations internationales (France)
Kristina Zelenyuk, journaliste, 1+1 TV (Ukraine)
Gustave Katsuva, journaliste pour Congo Check (République Démocratique du Congo)
Modération
Boureima Salouka, Faso Check et DW Akademie (Burkina Faso)
Factoscope.fr est un agrégateur de ressources et contenus journalistiques de vérification et d'éducation aux médias et à l'information (EMI) ; il agrège notamment les productions des médias fact-checkers bénéficiaires du projet Désinfox Afrique, ainsi que des ressources pédagogiques et/ou scientifiques sur les méthodes et pratiques du fact-checking et de l'EMI.
Intervenants
Laurent Bigot, journaliste et maître de conférences, directeur de l’École publique de journalisme de Tours (EPJT) / France
Une co-présentation avec Jean-Marc Bourguignon de Nothing2Hide
L’intelligence artificielle (IA) est porteuse de multiples menaces pour la qualité de l’information. En texte ou en images, les capacités de production de fake news sont innombrables. Mais l’IA offre aussi de nouvelles possibilités pour lutter contre la désinformation en ligne. Elle peut aider à identifier rapidement les fausses informations et à les supprimer avant qu’elles ne se propagent. Son utilisation soulève des questions éthiques. Quels sont les risques, les avantages et les limites de l’utilisation de l’IA dans la lutte contre la désinformation ?
Intervenants
Olivier Martinez, consultant spécialisé média & IA (France)
Chine Labbé, rédactrice en chef Europe, chez NewsGuard (États-Unis/France)
Rawan Damen, journaliste, ARIJ (Jordanie)
Noko Makgato, directeur exécutif Africa Check (Afrique du Sud)
Modération
Paul Joël Kamtchang, datajournaliste (Cameroun)
En partenariat avec ARIJ (Arab Reporters for Investigative Journalism) et AFCN (Arab Fact Checkers Network). AFCN est un réseau qui travaille à la vérification transparente et impartiale des faits dans le monde arabe. Ce réseau fait face à la montée en puissance de la désinformation depuis le COVID-19. En février 2023, le réseau s’est mobilisé pour contrer les principales informations erronées/désinformations liées au tremblement de terre en Turquie et en Syrie.
Intervenants
Rasha Faek, journaliste et formatrice AFCN (Syrie)
Saja H. Mortada, journaliste d’investigation et datajournaliste, ARIJ (Liban)
Facilitation
Laurent Giacobino, directeur Mediterranée-Asie de CFI (France)
En partenariat avec Les Africtivistes. Les Africtivistes est le réseau des blogueurs et web-activistes panafricains qui ont pour ambition de promouvoir et de défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique. Africtivistes a été créé en novembre 2013 en vue de mettre en réseau tous les acteurs de changement en Afrique et apporter des solutions concrètes et idoines aux problèmes majeurs qui freinent le développement et l’unité du continent. Au fil des années, l’organisation a développé une organisation sous forme de clusters pour favoriser la propagation de ses messages et de ses opérations de fact-checking sur les réseaux sociaux.
Intervenants
Cheikh Fall, président de Africtivistes (Sénégal)
Aisha Dabo, coordinatrice de Africtivistes (Sénégal/Gambie)
Facilitation
Philippe Couve, directeur de Samsa Africa (France)
En partenariat avec Africa Check. Depuis plus de 10 ans, les journalistes ont vu se développer les campagnes de désinformation et les actes de mésinformation pendant les périodes de campagne électorale. Il est devenu particulièrement difficile de suivre l’actualité politique sur les réseaux sociaux. Sans même parler des coupures internet qui s’apparentent souvent à une forme de censure. L’organisation panafricaine Africa Check présente à Johannesburg, Nairobi, Lagos et Dakar a multiplié les activités pour améliorer l’accès à des informations de qualité durant ces périodes en développant des méthodes de fact-checking adaptées.
Intervenants
Valdez Onanina, rédacteur en chef, Africa Check (Sénégal)
Allwell Okpi, journaliste, Africa Check (Nigeria)
Facilitation
Sylvie Larrière, coordinatrice régionale du projet « MédiaSahel pour elles » de CFI (Burkina Faso/France)